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Article de Pauline Weber pour Beaux arts
À la galerie Lympia, plongez dans l'univers décalé et foisonnant de Patrick Moya

 
     
 
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Rubrique "Héros" du magazine Artension
avec un entretien réalisé par Patrick Le Fur sur 8 pages

     
 

Texte de Véronique Godé pour artshebdomedias
http://artshebdomedias.com/article/introspective-moya-port-de-nice/

  Moya, c’est à la fois Gepetto et Pinocchio, l’œuvre et son créateur, Guy Lux et Debord, Chantal et son homologue : l’artiste peintre, performeur ou bâtisseur conceptuel dans les métavers de Second Life s’inspire autant de l’énergie créatrice d’un Goya que de l’esthétique kawaii d’une chorégraphie coréenne. L’art par dessus tout et la pulsion enfantine sublimée ! Jusqu’au 15 avril, Le cas Moya s’expose à Nice, inaugurant par une belle exposition introspective un tout nouveau lieu patrimonial : la galerie Lympia, dédiée à l’art contemporain sur le port.

Dans un bel écrin, conçu sur trois étages à partir d’un ancien bagne et d’un joli pavillon méditerranéen coiffé d’un toit terrasse, tout l’aréopage de Patrick Moya, Dolly la brebis clonée – égérie des soirées électro de la région –, l’âne, le singe, l’éléphant, la grue et la soucoupe volante… sans oublier le petit Moya en personne, nous font face dans de grands tableaux, sous la forme de sculptures, de céramiques ou de vidéoclips, comme s’ils nous attendaient pour une fête ! Sur le registre de la psychanalyse, la commissaire Florence Canarelli – auteure, notamment, d’une thèse sur la représentation de la folie dans l’œuvre de Goya – a conçu avec notre plasticien baroque et faussement naïf une exposition rétrospective qui rend hommage à son narcissisme fondateur – de la constitution de son moi au surmoi, en passant par la chambre et le nom du père. Ce duo complice avait d’ores et déjà répertorié en 2011 plus de 4 000 œuvres dans un catalogue raisonné*. Après 40 ans de création, il fallait bien faire le tri !
Né en 1955, Patrick Moya grandit à Troyes, où son père tient une boutique de prêt-à-porter féminin, laissant les clientes essayer librement les dernières tenues à la mode parisienne alors que l’enfant joue dans la vitrine et commence très vite à dessiner. Aura-t-il gardé de cette enfance exposée le goût de la performance et de la peinture en public, qu’il exécute sans retouche, dans de grandes fresques lors de soirées festives ? C’est à 15 ans seulement que « l’enfant chéri » du pays niçois, dont la civilisation joyeuse illumine désormais le tramway et les bus, fait irruption sur la Côte d’Azur. A ce moment-là, lorsque ses parents espagnols se marient, il emprunte le fameux nom du père. Dans une des premières salles de l’exposition, ses œuvres de jeunesse en déclinent les quatre caractères, M-O-Y-A, sous différentes formes symboliques : lettrisme aux couleurs primaires et ou bien sculpture. Comme si la signature elle même constituait l’œuvre à part entière.
Au cours de ses trois ans d’étude à la Villa Arson, Moya évolue de la BD à l’art conceptuel, du body art à l’art sociologique et à la vidéo. Il réfléchit sur l’impact de la télévision en direct, où l’humain est au centre, et fait même signer une pétition à ses professeurs pour que Guy Lux, son champion de la discipline, soit nommé ministre de la culture ! « L’art doit être populaire et le rôle de l’artiste est de toucher le plus grand nombre. Sa place est donc au cœur de l’œuvre ! », affirme celui qui, avant de se mettre à l’ouvrage, posa nu pendant quelques années pour des écoles d’art. « Je ne veux pas être le créateur, mais la créature », se dit-il, titrant l’une de ses premières expositions Esquisse d’un narcisse niçois en 1985. Pour Moya cela ne fait plus aucun doute : « Le message, c’est le médium et le médium, c’est l’artiste, conclut-il à la lecture de McLuhan. Et le seul message que j’ai à faire passer, c’est MOI ! » En 1997, il crée pour autoportrait un petit personnage à lunettes qu’il intègre dans la plupart de ses toiles et décline sur tous les supports, céramique, vidéo, 3D, marionnette, etc. « J’ai toujours rêvé d’être universel par la pratique de nombreuses techniques et styles et par la multiplication de mes avatars », confie le plasticien prolifique et travailleur acharné. Pendant quatre ans, Moya est capable de peindre les murs d’une chapelle de montagne à la mémoire de Saint Jean-Baptiste. Mais lorsque la fresque est inaugurée à Clans, en 2007, l’artiste aura servi de modèle à tous les saints, même Jésus ! Moya se prendrait-il donc pour Dieu ? Toujours est-il que depuis ses premières programmations sur un Thomson MO5, il tente de se virtualiser. Depuis 2007, cet artiste numérique hors norme passe une partie de sa vie dans le Moya Land, tout un univers émergé, construit à son effigie dans Second Life, où il anime, à Noël, la messe en direct, organise des conférences et des visites guidées dans son Moya circus, son musée, sa galerie, son sanctuaire, son cinéma ou encore dans toutes les répliques en 3D des expositions qui lui sont consacrées. Suivi par un club international de geeks et d’amateurs d’art de la Californie à Busan, en Corée, en passant par l’Italie, Moya y a même créé avec humour un groupe de personnages contestataires manifestant contre l’autocratie qui règne dans l’île. « L’art est supérieur à tout, il est supérieur à Dieu… il faut adorer l’art ! », affirme celui qui, en toute simplicité, créait à l’âge de trente ans La bible en photocopie de Patrick Moya : Adam et Eve y sont chassés de l’intérieur de l’œuvre ; le premier devient alors peintre et sa compagne comédienne, le travail créatif sera le

 

dans la revue italienne Hestetika

Un article de RSVN qui parle de l'exposition à Nice et aussi des céramiques réalisées à Albisola

  Liguria e Costa Azzurra. La mostra di Moya a Nizza. Un genio e un po’ di Albisola

L’arte, tra la Liguria e la Costa Azzurra, dialoga da molti anni. Dunque non è una sorpresa trovare nella sontuosa mostra di Patrick Moya a Nizza qualche pezzo in ceramica realizzato ad Albisola.Moya ha un legame stretto e affettuoso con la nostra terra, dovuto ad un altro geniaccio dell’arte contemporanea che si chiama Giorgio Laveri. Ho visitato la mostra di Moya a Nizza. Ed ho incontrato l’artista – che avevo conosciuto in una lontana cena di una quindicina di anni fa – e l’ho ritrovato identico ad allora, esattamente come il suo personaggio virtuale e reale che lui ha consegnato al pubblico. Un Pinocchio buffo e inquietante. La mostra di Nizza – grande, bellissima, difficile da descrivere – racconta di un genio dell’arte contemporanea. Uno dei miei preferiti. Moya.

Ferdinando Molteni

http://www.artribune.com/mostre-evento-arte/patrick-moya-dolly-mon-amour/   page culture de la stampa   ANSA
 
   
Arriva a Torino il poliedrico artista francese PATRICK MOYA e le sue creazioni nella mostra DOLLY MON AMOUR che sarà allestita negli spazi dell’ex Teatro Paesana e aperta gratuitamente al pubblico da venerdì 30 marzo a lunedì 30 aprile (ingresso da Via Bligny n. 2 - Torino). 
La mostra vuole essere un omaggio al personaggio più celebre ed iconico della produzione artistica di Patrick Moya, la pecora Dolly, nata vent’anni fa e il cui nome si ispira alla celebre pecora clonata nel 1997. Pensata in origine come mascotte di una delle più celebri serate “électro gay friendly” della Costa Azzurra, ben presto questa gentile pecora rosa diventerà un’icona inseparabile dell’opera di Moya, circondandosi nel corso degli anni di tutta una serie di personaggi surreali: Teddy Bear, asini in gonnella, elefanti volanti, scimmiette in livrea e maliziosi diavoletti con le ali, un coloratissimo bestiario, quasi umano, che ci proietta in un mondo magico, capace di comunicare al bambino nascosto dentro ognuno di noi. 
“Siamo orgogliosi di ospitare per la prima volta a Torino una mostra personale di Patrick Moya, artista molto popolare e visibile nella vicina Costa Azzurra e presente in diverse iniziative culturali di prestigio organizzate sul territorio francese” commenta Enrico Debandi, responsabile artistico degli spazi di Palazzo Saluzzo Paesana e curatore della mostra Dolly Mon Amour. “Dal vastissimo repertorio di produzione di Moya, abbiamo scelto di concentrarci sui mille travestimenti del personaggio rappresentato dalla pecora Dolly che, con il suo sguardo ammiccante e con la sua espressione curiosa e irriverente, inaugura la stagione espositiva del Teatro Paesana in concomitanza con la primavera ed il periodo Pasquale”.  
Nato nel 1955 a Troyes da genitori d'origine spagnola, Patrick Moya frequenta l'istituto d'Arte di Villa Arson a Nizza (Costa Azzurra) prima di posare come modello all’Accademia di Belle Arti per dieci anni con lo scopo di diventare «la creatura al posto del creatore» ed interrogandosi sul cambiamento apportato alla storia dell'arte dai nuovi media secondo gli scritti del celebre teorico canadese McLuhan: «a causa dell’onnipresenza dei media - come la diretta televisiva - il creatore non ha più il tempo di raccontare la storia dell’arte: per esistere, deve necessariamente diventare lui stesso creatura». 
L’artista comincia la sua produzione lavorando sull'utilizzo delle lettere del suo nome, MOYA, assimilando l'opera alla sua firma in un periodo definibile «néo-lettrisme», prima d'inventarsi nel 1996 un alter ego, il suo piccolo Moya, autoritratto caricaturale che gli permette di esistere all’interno dei suoi lavori.
Dal 1998 è rappresentato dalla galleria Ferrero, celebre per diffondere le opere dei più grandi artisti della scuola di Nizza come Arman o Ben Vautier: da quel momento le sue opere prolificano e generano gradualmente un universo personale sotto forma di bestiario quasi umano, pieno di stranezze, colore e poesia. Nel 2007, dopo quattro anni di lavoro, l’artista termina gli affreschi murali di una cappella che porta il suo nome situata nel piccolo villaggio di Clans (nell’entroterra di Nizza) e da febbraio 2009 sfila sul primo carro da lui creato per il Carnival de Nice.
Nello stesso periodo, Moya erige delle sculture monumentali in acciaio in Asia e modella dei piccoli lettini in ceramica in Italia, passando con virtuosità dal pennello al computer, dall'arte contemporanea all'arte numerica (o meglio post- numerica). 
A partire da febbraio 2007, Moya si installa in Second Life (SL), costruendo e popolando un'isola virtuale in 3D che possiede nel web. Il creatore è finalmente diventato una creatura che vive nella sua opera attraverso un avatar dal nome Moya Janus e che accoglie i visitatori immergendoli nel suo universo; concepita come un'opera d'arte globale, quest'isola è il risultato d'una iniziativa invasiva divenuta immersiva. 
Ad oggi riconosciuto anche come artista numerico, Moya ha partecipato all’iniziativa «Rinascimento virtuale», titolo della prima esposizione d'artisti di Second Life svoltasi nel 2009 al museo antropologico della città di Firenze, nel quale una sala intera era dedicata alla «Civiltà Moya».
Nel 2011, data dell'edizione del catalogo ragionato "Artstoarts" (40 anni di creazione, 4200 opere catalogate), una nuova "Civiltà Moya" nasce sui muri del museo d'Arte La Malmaison di Cannes: un affresco-installazione di 90 metri di lunghezza e 4 metri di altezza che racconta la sua avventura artistica. Questa esposizione, fedelmente riprodotta in Second Life, permetteva al visitatore d'incontrare l'avatar dell'artista e di percorrere con lui il suo universo virtuale. Nel maggio 2015, infine, una nuova biografia aggiornata dell'artista, intitolata "Le cas Moya", permette di valutare globalmente la coerenza del suo lavoro, seguendone le diverse tappe. Qui si vede come Moya ha potuto realizzare il suo sogno adolescenziale: essere per esempio Tintin e non Hergé, la Gioconda e non Leonardo da Vinci... ovvero diventare Creatura (attraverso il suo avatar) per vivere all'interno della sua opera.

Le stand Nice Matin a la foire de Nice
Avec les personnages du Moya land et une édition spéciale moya land (édition virtuelle réalisée avec des articles consacrés à Moya)

       
         
       
 

Dans le magazine Week end de Nice Matin

 

2017

Beaux Arts Magazine

Dans graffitiart à propos de la foire 8ème Avenue à laquelle participait la Galerie Art Fontainebleau

 

Connaissance des Arts à propos de la foire Art Elysées à laquelle participait la Galerie Art Fontainebleau

 

un article de Mario Gerosa paru dans AD MAGAZINE ITALIA

      http://ad.vfnetwork.it/news/2017/10/30/moya-arte-come-comunicazione/  
     

interview sur le site "apprendre à dessiner"

 

 

 

Marie Claire

dec 2017 Numéro spécial pour les 30 ans de Cote magazine avec 30 portraits de personnalités

       

nice matin

         

BFMTV en direct du Carnaval de Nice 2017

Vosges Matin à propos de le nuit des musées au musée d'Epinal

 

 

17 avril - le 10000ème visiteurs de l'exposition au palazzo Ducale ce dimanche

   

Polémique à Mantova
on avait proposé un peu vite de peindre une palissade devant le Palazzo Ducale mais la mairie a dit que ce n'était pas possible
(heureusement car c'était un gros travail)- c'était juste une idée en l'air mais un journal de l'opposition s'est emparé de l'affaire
pour créer la polémique pour reprocher à la mairie d'avoir refuser la proposition des organisateurs de l'exposition au palazzo ducale

             

Mars 2016 Sur la Rai le Tele Giornale de lombardie parle de l'exposition au palazzo Ducale
dans le cadre de Mantova capitale de la Culture

               

 

Mars 2016 - un reportage de tv-mantova sur la préparation virtuelle de l'exposition au palazzo Ducale
vue du serious game Moya Land

               

Nice Matin 22 et 21 juin 2017

 

 

 

Beau texte de Michel Gathier à propos de l'exposition au Pôle Chabran de Draguignan

 

 

Se confronter à l'univers de Patrick Moya c'est vivre une expérience à rebours de ce que l'art contemporain, le plus souvent, nous propose. Récit assumé, expressivité de la couleur et légéreté de ton s'accordent ici pour projeter le spectateur dans un monde fictif et qui se désigne comme tel. Et dans ce monde, chacun pourtant s'y reconnaît, s'y retrouve, dans la poésie ou la naïveté de ses rêves, dans une imagerie « convenue » qui nous renvoie aux récits de l'enfance . Et, pourtant, au-delà, de la "friandise populaire" qui s'affiche ironiquement, se profile un monde étonnamment complexe pour peu qu'on qu'on en agence tous les éléments et qu'on en formule la narration.
Ce qui structure l'ensemble, c'est le dédoublement généralisé qui agit de façon virale, qui perturbe l'image en se diffusant du réel vers l'artifice de l'art et inversement. Le peintre se peint derrière un masque qui n'est qu'un décor qui renvoie de nouveau à l'image du peintre dont la représentation est l'image infinie. Aussi l'univers de Moya se construit-il à base de citations et de clins d’œil ironiques dans un jeu de miroirs et de constructions en abyme. Il ne répugne jamais à l'exagération, à la saturation, à la répétition, à l'exhibition narcissique comme ultime spectacle. Moya pratique l'excès, s'adonne à une provocation rieuse et se met en scène dans une relation ludique à l'histoire de la peinture dont il décline les mille et une facettes, les détours, les perversités facétieuses comme s'il cherchait là et, dans son ailleurs de Second Life, un impossible autoportrait.
La figure du peintre se superpose alors à celle de Pinocchio dans ce monde du mensonge dont l'art lui-même serait l'expression tant par les promesses qu'il suppose que par ses propres limites, celles que Moya ne cesse d'étirer au-delà de la peinture, de la sculpture, de l'art populaire ou des utopies numériques.
 Un tourbillon baroque nous projette vers des nuées dans lesquelles s'agitent des anges farceurs et des diablotins qui nous entraînent dans un dispositif extrêmement codé et finalement sans surprise car ce monde-là n'est que l'envers et le reflet du monde réel. Un décor inquiétant et doucereux composé de clones, d'avatars, du mouton Dolly et d'un bestiaire récurrent se construit ici pour un au-delà, enfer ou paradis, qui ne se logerait pas au fin fond du ciel mais déjà dans notre présent, dans notre réalité et ses potentialités virtuelles dans un horizon qui toujours recule.  Moya est le peintre baroque des temps présents. Son ciel est le reflet de notre quotidien.
 

Nice Matin janvier 2017

 

 

Couverture pour le Magazine Optimiste

 

2017 Le nouveau magazine d'art urbain " Stuart Urban Art Magazine"
parle du chef 2 étoiles Christian Sinicropi et son travail avec les artistes

2017 L'express - Article à propos de la chapelle de Clans

 

un article sur les derniers jours de l'exposition au château de madame de graffigny
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2016/08/20/villers-les-nancy-dernier-jour-de-l-exposition-moya-a-graffigny

       

Le Cyber Carnaval des îles Moya et les "toilettes de Nicole" à la télévision chilienne
à l'occasion d'un reportage sur le Carnaval de Nice reportage réalisé par Juanita Ringeling célèbre comédienne chilienne

Cuneo

dans le Mag du Republicain Lorrain - exposition de Villers lès Nancy

         

Artprice partage l'annonce de l'exposition à Villers lès Nancy et sa version virtuelle sous forme de serious game
https://twitter.com/artpricedotcom/status/746737248104742912

Annonce de l'exposition de Villers lès Nancy sur Culturbox
http://culturebox.francetvinfo.fr/expositions/peinture/patrick-moya-artiste-narcissique-en-vernissage-virtuel-a-villers-les-nancy-241963

               

3 au 5 juin 2016 - Festival du Livre de Nice - sortie de "Moya et le carnet des desseins"

Article sur Purepeople        

"Marisa Bruni Tedeschi et Richard Bohringer : Rencontres inédites à Nice

Ce premier jour du Salon du livre de Nice réunissait d'autres personnalités aussi bien politiques comme Eric Ciotti et Jean-Louis Debré (pour Ces femmes qui ont réveillé la France, coécrit avec Valérie Bochenek), que littéraires. Didier Van Cauwelaert, Prix Goncourt pour Un aller simple en 1994, était présent comme l'étaient Irène Frain et le plasticien Patrick Moya.

Le salon du livre de Nice, dont Franz-Olivier Giesbert est le directeur artistique et Jean-Christophe Ruffin, le président d'honneur, vous accueille jusqu'à dimanche."

     

Article dans l'Est Eclair du 6 dec 2015

 

 

 

Nice Matin novembre 2015

oct 2015 Biancoscuro magazine

         

Nice Matin juillet 2015

Avril 2015 - Caserta

    Il Mattino de Caserta    
   

Nice Matin fevrier 2015  

août 2013 en direct avec le monde virtuel du Moya land depuis l'exposition Moya en Corée au radium Art Center


1 er nov 09 - A l'occasion des 40 ans de l'internet Nice Matin fait un spécial "réseaux sociaux"

 


Mars 2009 Article sur Second Life dans la revue MCD Musiques et cultures digitales.

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Républicain Lorain 23 dec 2009


le magazine de l'hotel Martinez Cannes pour ses 80 ans

 

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Visite de la journaliste Véronique Godé de ARTE TV sur l'île Moya.
Voir le reportage sur
http://www.arte.tv/fr/Echappees-culturelles/cultures-electroniques/2385240.html

 

 

 

 

L'avatar de Véronique Godé

 

 


Avril 2008 Art Cote d'Azur - article de Florence Canarelli

 

 


Fevrier 2009 reportage de FR3 consacré au char de Moya en réel et sur Second Life


Article concernant l'île Moya dans Coming Up par Olivier Marro
cliquez sur les pages pour agrandir

voir la page presse concernant Second Life


sept 2008 - livre "Arts numériques"
édition M21 Editions et MCD annoncent la sortie du livre :Arts numériques - Tendances, Artistes, Lieux & Festivals

 


Octobre 2008 Rai Uno - reportage sur l'exposition Rinascimento Virtuale à Florence


FR3 à propos de l'exposition Moya entre réel et virtuel au Chateau des terrasses à Cap d'Ail
- cliquez sur l'image pour voir l'émission


Le Matin Suisse 2008


Mars 2008 DBC radio TV suisse
interview de l'avatar de Moya en direct de Second Life dans
l'émission Live Altitude http://www.wat.tv/video/second-life-moya-janus-iyr4_8a1q_.html


Couverture pour les 20 ans de la revue COTE
et article de Mireille Sartore

 

 

 


Couverture du nouvel an de Nice Matin - Monaco Matin et Var Matin

 

 

Article de Georges Bertolino


AUTOMNE 2006
couverture du magazine Itinéraires
"le guide urbain de la ligne A du RER"

 


couverture de COTE "spécial montres" et article du spécial art de Cote

 

NICE and YOU 05 - city guide for the urban explorer

visite de la maison atelier à Nice

 

 

 

 

 

 

 

 


La Strada a propos de l'exposition au "fond de scène "


 


Casa Vogue - juin 2004

   

 

 

   

 

 

 

Lire la suite du texte en agrandissant les vignettes

 

 

 

 


2003 Welcome - Articler de Olivier Maro

 


Artensions N°6 - Juillet Aout 2002 - double page


2002 - Résidences


Nice matin 1996 texte Frederic Altmann


1991 - Asian Art New


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